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Progrès à l’ULB dans la compréhension du virus du sida |
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Des chercheurs de l’Université libre de Bruxelles (ULB) ont progressé dans la compréhension de la latence du virus HIV-1 (SIDA), ce qui devrait avoir des implications pour le développement de stratégies thérapeutiques nouvelles, peut-on lire dans un communiqué de l’université.
Les résultats de cette étude sont publiés mardi dans la revue scientifique américaine Plos One.
http://www.lesoir.be/mediastore/_2009/juin/hermes/ID1747171_30_sida_belga_104938_00NVXD_0.JPG.jpg
L’apport des antirétroviraux au traitement des patients infectés par le virus HIV-1 a été considérable. Cependant, un problème majeur demeure : malgré une multithérapie anti-SIDA prolongée et efficace, des réservoirs cellulaires infectés par des virus latents persistent chez les patients. Même indétectable, le virus reste donc présent, prêt à se réactiver si le patient arrête son traitement et contracte un simple rhume par exemple. Étant donné la longue demi-vie de certains de ces réservoirs, on estime que leur éradication totale avec le traitement anti-SIDA actuel nécessiterait plus de 60 ans, souligne le communiqué.
Une optimisation importante des traitements anti-SIDA consisterait donc à éliminer les réservoirs cellulaires en administrant des agents qui réactivent l’expression des virus latents, tout en maintenant le patient sous un traitement anti-SIDA efficace et/ou intensifié.
Le Laboratoire de virologie moléculaire de la Faculté des Sciences de l’ULB, dirigé par Carine Van Lint, directeur de recherches FNRS, étudie depuis de nombreuses années les mécanismes moléculaires qui régulent l’expression des gènes du HIV-1.
Les chercheurs de ce laboratoire, en collaboration avec l’équipe du professeur N. Clumeck au CHU Saint-Pierre, ont démontré que des traitements combinant un inhibiteur de désacétylases tels que l’acide valproïque ou le SAHA (déjà en usage clinique, mais pour d’autres maladies) avec la prostratine, un inducteur de la voie cellulaire NF-kappaB (ne présentant pas ou peu d’effets tumorigènes et inflammatoires), réactivent l’expression virale dans des cultures ex vivo de cellules réservoirs isolées à partir du sang de patients séropositifs sous multithérapie (chez qui le virus est indétectable dans le sang depuis au moins un an).
La réactivation par cette combinaison est synergique, c’est-à-dire plus efficace que l’addition des effets de chaque activateur isolément.
« Ces résultats constituent une preuve de principe du potentiel thérapeutique de la co-administration de deux types différents d’activateurs du HIV-1 (un inducteur du facteur NF-kappaB et un inhibiteur de désacétylases), en présence d’une thérapie anti-HIV-1 efficace, dans le but de réduire efficacement le pool des réservoirs cellulaires infectés de manière latente par HIV-1 », souligne l’ULB.
Toutefois, les chercheurs de l’ULB n’ont observé une réactivation transcriptionnelle que dans 60 % des échantillons sanguins testés, et soulignent l’importance d’identifier d’autres réactivateurs de la latence virale et de les tester en combinaison avec ceux utilisés dans leur étude.
Coordonnée par l’Institut de biologie et de médecine moléculaires (IBMM) de l’ULB, cette recherche a été menée en collaboration avec des équipes du CHU Saint-Pierre, de la Faculté de médecine Paris-Sud, de l’Institut national français de la santé et de la recherche médicale, de l’Université de Franche-Comte, de l’Hôpital Necker de l’Université Paris-Descartes, de l’Institut de biologie de Lille, et de l’Université de Liège.
Lesoir.be
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