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- mercredi 28. octobre 2015
Fibrillation auriculaire
- samedi 19. septembre 2015
L\'entrainement en aérobie diminue l\'hyperréactivité bronchique (HRB) et l\'inflammation systémique chez les patients souffrant d\'asthme modéré à sévère: un essai randomisé contrôlé.
- samedi 15. août 2015
Consommation d\'aliments épicés et mortalité toutes causes et spécifiques: une étude de cohorte basée sur la population.
- mercredi 22. juillet 2015
Le tabagisme passif est associé à l\'inflammation vasculaire...
- dimanche 28. juin 2015
Antibiothérapie versus Appendicectomie en traitement d\'une appendicite aigüe non compliquée: l\'essai clinique randomisé APPAC
- mardi 9. juin 2015
Qualité de l\'air intérieur, ventilation et santé respiratoire chez les résidents âgés vivant en maison médicalisée en Europe.
- jeudi 23. avril 2015
Association entre sauna accidents cardiovasculaires fatals et mortalité toutes causes
- mercredi 11. mars 2015
Associations dose-réponse entre une activité cycliste et le risque d\'hypertension artérielle (HTA)
- lundi 2. mars 2015
Longévité et déterminants de l\'immunité humorale protectrice après infection grippale pandémique.
- dimanche 15. février 2015
Prévalence de la bronchoconstriction induite par l’exercice (BIE) et de l’obstruction laryngée induite par l’exercice (OLIE) dans une population générale d’adolescents.
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Le nombre de médecins installés recule en France |
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Moins de 200 000 praticiens sont désormais en «activité régulière», selon l'Atlas annuel du Conseil de l'ordre.
D'année en année, la perspective se confirme : accéder à un médecin va devenir de plus en plus difficile. La densité médicale commence à baisser, constatait pour la première fois le Conseil national de l'ordre il y a un an. La tendance se poursuit (290,3 praticiens pour 100 000 habitants le 1er janvier dernier, contre 300,2 début 2008). Mais désormais, le nombre de médecins «en activité régulière» recule aussi en valeur absolue : ils étaient 199 736 en début d'année, soit un repli de 2 %. Une première que la hausse de 5,5 % du nombre de remplaçants, à 9 999 médecins, ne compense qu'en petite partie. D'autant plus - même si aucun chiffre n'est disponible - que le temps de travail de ces derniers est sans doute inférieur. Phénomène nouveau : certains médecins autrefois installés ferment leur cabinet et deviennent remplaçants, visiblement pour échapper aux semaines à rallonge.
• Des inégalités régionales persistantes. Si la région Paca compte 375 médecins en activité régulière pour 100 000 habitants, et l'Ile-de-France 373, le taux est inférieur à 240 en Picardie. Le Centre, les deux Normandies, la Champagne-Ardenne, les Pays de la Loire, et la Bourgogne sont aussi mal loties. «L'impact des mesures incitatives» pour attirer les médecins dans ces régions «est non probant», tranche l'Ordre. Et c'est aussi dans les régions où la densité est la plus faible que les médecins sont les plus âgés. La Meurthe-et-Moselle a ainsi perdu 427 médecins en un an.
• Une pyramide des âges inquiétante. Le nombre de médecins retraités a augmenté de 5,2 % en un an. La moyenne d'âge de ceux qui travaillent est de 51 ans et les effectifs de médecins de plus de 50 ans ont augmenté de… 53 % entre 2008 et 2009 ! Si les jeunes s'entassent encore dans les amphis en première année de médecine, dix ans plus tard «ils cherchent à faire autre chose que la médecine classique», regrette le président de l'Ordre, Michel Legmann selon qui gardes, charges et paperasse détournent les «carabins» de la médecine générale, notamment. Ils préfèrent des spécialités plus «tranquilles» comme l'homéopathie. Les deux tiers des nouveaux inscrits à l'Ordre sont salariés (hôpital, établissements mutualistes, médecine du travail…), ce qui exclut l'activité de généraliste. Cela n'est sans doute pas sans lien avec leur féminisation (52 % des effectifs), car le travail à temps partiel y est plus fréquent - même si, là encore, les données exactes manquent. Quelques-uns, enfin, s'exilent au Canada ou en Grande-Bretagne. Combinés au nombre croissant de généralistes, ces éléments montrent que la baisse des effectifs n'est que la partie émergée de l'iceberg : les jeunes médecins travaillent moins que leurs aînés et ne choisissent pas les spécialités où les besoins sont les plus élevés.
• Davantage de Belges que de Roumains. Face à la pénurie, hôpitaux, cabinets de ville et mairies «chassent» des médecins étrangers. Le cas des Roumains a souvent été médiatisé mais ils ne représentent que 12 % des 9 112 médecins étrangers en activité, derrière les Belges (16,4 %). Suivent les Allemands (10,9 %), les Algériens (10,3 %) les Italiens, les Marocains, les Tunisiens et les Espagnols - toutefois les praticiens non européens des hôpitaux publics ne sont pas inscrits à l'Ordre et n'apparaissent donc pas dans ces chiffres. Autre idée reçue : ces médecins étrangers ne s'installent pas plus à la campagne que leurs confrères français. Pas de quoi combler les inégalités… Enfin, à propos des médecins roumains et bulgares, le Dr Legmann s'inquiète d'un «problème de niveau» et déplore que les règles européennes de reconnaissance des diplômes «ne parlent que de la durée des études, pas du contenu. On a eu des déboires».
lefigaro
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