L\'entrainement en aérobie diminue l\'hyperréactivité bronchique (HRB) et l\'inflammation systémique chez les patients souffrant d\'asthme modéré à sévère: un essai randomisé contrôlé.
Prévalence de la bronchoconstriction induite par l’exercice (BIE) et de l’obstruction laryngée induite par l’exercice (OLIE) dans une population générale d’adolescents.
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Grippe A (H1N1) : 111 décès en France
La France a franchi le cap de 100 décès liés directement à la grippe A. Au moins 111 personnes ont succombé au virus H1N1 en France métropolitaine, selon les derniers chiffres publiés par l’Institut de Veille Sanitaire et qui ne prennent pas en compte les 28 victimes des Territoires et Départements d’Outre-Mer.
Au moins 111 personnes sont décédées des suites de la grippe A (H1N1) en France métropolitaine, selon le dernier bilan de l’Institut de veille sanitaire (InVS). Par ailleurs, 86 nouveaux cas graves ont été recensés par l’InVs par rapport à son dernier bulletin. Environ 567 personnes ont été hospitalisées en métropole depuis le début de l’épidémie, dont les 155 qui sont toujours en réanimation ou en soins intensifs, précise l’InVs.
La situation en France est sans doute moins dramatique qu’en Ukraine 440 décès ont été confirmés par les autorités sanitaires, dont 36 décès supplémentaires en 6 jours. Le nombre de malades est de 1 893 315 contre 1 716 564 au 26 novembre, soit une augmentation de 176 751, ce qui représente environ 30 000 malades quotidiens, chiffre qui reste stable. Cet indice concerne les malades recensés depuis le début de l’épidémie, le 29 octobre. 114 503 personnes hospitalisées depuis le 29 octobre contre 102 030 personnes au 20 novembre. L’augmentation, en 6 jours, est de 12 473, soit un peu plus de 2000 par jours, chiffre en baisse (entre 2800 et 3800 personnes hospitalisées quotidiennement mi-novembre). Les statistiques indiquent également que les personnes sortant des hôpitaux sont plus nombreuses que celles qui y entrent.
Le gouvernement ukrainien continue à étudier la mise en place d’une campagne de vaccination. La mission de l’OMS qui était présente en Ukraine a rendu ses premières conclusions, estimant que l’épidémie qui s’est déclenchée dans ce pays est bien due à la propagation du virus grippal A H1N1. Les analyses menées dans les laboratoires de référence de l’OMS en Europe n’ont pas révélé de différences significatives entre ce virus et celui de la pandémie mondiale. Les antiviraux et vaccins développés ailleurs fonctionnent donc contre la vague pandémique en Ukraine. 2. Cette grippe tend à supplanter la grippe saisonnière dans les pays où elle s’installe. Très contagieuse et peu virulente, elle est moins meurtrière que la grippe saisonnière mais ne frappe pas les mêmes catégories de populations : elle touche adultes et jeunes plus que personnes âgées.