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- mercredi 28. octobre 2015
Fibrillation auriculaire
- samedi 19. septembre 2015
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- samedi 15. août 2015
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- mardi 9. juin 2015
Qualité de l\'air intérieur, ventilation et santé respiratoire chez les résidents âgés vivant en maison médicalisée en Europe.
- jeudi 23. avril 2015
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- dimanche 15. février 2015
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Le Sida, une affaire de sécurité publique |
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| « Le Sida a dépassé le stade de problème de santé publique, car- aujourd'hui cette maladie est devenue plutôt une affaire de sécurité publique», a souligné, hier, le professeur Naim Malek, colonel de l'ANP, lors de son intervention à l'ouverture du séminaire, «pour la prise en charge des infections sexuellement transmissibles en milieu militaire algérien», une manifestation qui se déroule sur deux jours à l'hôpital militaire, sis à la nouvelle ville Ali Mendjeli.
D'ailleurs, statistique à l'appui, il relèvera que «350 millions de nouvelles personnes sont contaminées chaque année dans le monde». Comment ne pas s'alarmer lorsqu'on apprend, aussi, que «des populations entières de notre continent sont tout simplement menacées de disparition?».
En tout cas, cette importante rencontre scientifique, 3e du genre après celles organisées à Alger et Tamanrasset, à laquelle a assisté l'adjoint du chef de la 5e Région militaire, et qui a regroupé de nombreux spécialistes de l'est du pays (biologistes, microbiologistes, médecins en épidémiologie), tenue à la veille de la célébration de la Journée mondiale de la lutte contre le SIDA (1er décembre), «a pour vocation essentielle la formation des cadres de la santé militaire, dont le champ d'action concerne, aussi, la population civile», devait-on préciser.
Dans ce contexte, on apprendra que toutes les communications sont axées sur la définition scientifique des infections sexuellement transmissibles, les moyens de dépistage, le traitement et la prévention. Ce dernier volet focalisera les intérêts lors d'une rencontre en marge de ce séminaire entre des cadres de la santé militaire et la presse.
«La prévention, qui ne va pas sans la sensibilisation (ou la vulgarisation), n'est pas une spécialité, c'est un aspect qui se trouve confié aux médias dont le rôle est capital pour épargner la contamination des populations», estimera le lieutenant-colonel Ghaith Fouzi, directeur régional des services de la santé militaire. «Il faut casser les tabous», insistera ce dernier sur cette question de la vulgarisation du SIDA dans le milieu des jeunes, notamment.
«Beaucoup parmi ces derniers ignorent comment se prémunir contre le Sida, ou encore ses sources de contamination», a-t-il rappelé. C'est une véritable désolation de vivre toujours à l'ère de cette bataille menée contre les tabous, «alors que le mal guette toute une population juvénile qui vit, elle, dans le changement des normes sociales et des valeurs morales», comme le signale le directeur des services de la santé militaire.
Mais, lorsqu'on voudra connaître le nombre de cas atteints en Algérie, au sein de la population militaire (milieu jugé pourtant à haut risque à cause des déplacements fréquents, ou autre célibat «géographique», comme l'estimeront des spécialistes présents au séminaire), ou au sein de la population civile, les langues se retiennent, et aucun chiffre n'est annoncé à ce propos par les séminaristes.
N'est-ce pas là, aussi, un autre tabou qu'on doit battre afin de pouvoir sensibiliser les gens sur ce fléau, en affichant surtout sa propagation dangereuse?
«Nous n'avons pas de données épidémiologiques fiables», aura constaté dans ce contexte le professeur M. Naim. Tout un environnement à réajuster pour prétendre mener une lutte efficace contre le Sida.
Source : Quotidien d'oran
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