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Les techniques pour rajeunir le regard
Actualités médicalesDe moins en moins invasive, la chirurgie est souvent complétée par des méthodes plus légères.

Paupières tombantes ou pochées, rides du pourtour des yeux… À partir de la quarantaine, c'est d'abord au niveau du regard que se font sentir les affres du temps. Le rajeunissement des paupières est d'ailleurs souvent la première intervention de chirurgie esthétique demandée par les patients. Outre les opérations classiques (blépharoplasties) et les liftings, il existe désormais de nombreuses autres options pour rajeunir le regard: microgreffes de tissu graisseux, produits de comblement, lasers, peeling ou encore injections de toxine botulinique.

«Aujourd'hui, les praticiens savent mieux analyser la morphologie du visage, ce qui permet une approche de plus en plus personnalisée. Globalement, la chirurgie est moins invasive, et elle est souvent complétée par des méthodes plus légères» , synthétise le Dr Serge Morax, spécialiste en chirurgie plastique et reconstructrice de la région péri-oculaire (Fondation Rothschild, Paris) et organisateur d'une récente journée de conférences sur ce thème.

Parmi les techniques qui ont le vent en poupe, la lipostructure, qui consiste à prélever de la graisse par liposuccion, et à la déposer (après préparation) sur les zones du visage qui ont perdu de leur volume. «Ce ne sont pas des injections mais des microgreffes. Les résultats sont prouvés et durables, précise le Dr Frank Trepsat, chirurgien plasticien en Suisse et l'un des pionniers de cette technique. En douze ans d'expérience, je n'ai pas eu de réelle complication.» Encore faut-il être pris en charge par des mains expérimentées et compétentes.

Quant aux injections de produits de comblement et de toxine botulique, elles suscitent aussi beaucoup d'engouement, mais leur maniement reste délicat. Fabriquées à base d'une neurotoxine bactérienne, les toxines botuliques (dont la plus connue est le Botox) sont de plus en plus nombreuses sur le marché. Elles agissent en paralysant des nerfs moteurs.

«La toxine botulique est devenue un traitement incontournable au niveau palpébral, tant en esthétique que pour des pathologies comme le strabisme ou des séquelles de paralysie faciale, explique le Dr Hadia El Gharbi (hôpital Rothschild), qui relève au total une quarantaine d'indications médicales. Les résultats peuvent être très satisfaisants et permettre d'éviter des actes chirurgicaux, mais ils sont opérateurs dépendants. » Les patients doivent être avertis que les injections sont à répéter deux fois par an, et des risques d'effets secondaires : ptosis (chute de la paupière supérieure), sécheresse cornéenne…

80 produits commercialisés

L'offre est aussi pléthorique pour les produits de comblement, destinés à remplir des rides ou des zones faciales qui manquent de volume. Environ 80 produits sont commercialisés en France, et 600.000 seringues sont vendues annuellement. «Des injections peuvent être pratiquées dans différentes zones y compris au niveau des lèvres. La patte-d'oie relève plutôt d'un traitement par toxine botulique», précise le Dr Renata Migliardi (Turin). Comme les autorités sanitaires, elle recommande de privilégier les produits résorbables, tels les acides hyaluroniques, qui durent 6 à 18 mois. «Les produits permanents, à base de silicone, doivent être oubliés, du fait des réactions immunogènes qu'ils entraînent», insiste le Dr Migliardi. Ils peuvent être à l'origine de réactions tardives graves telles que des granulomes, voire des nécroses.
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