L\'entrainement en aérobie diminue l\'hyperréactivité bronchique (HRB) et l\'inflammation systémique chez les patients souffrant d\'asthme modéré à sévère: un essai randomisé contrôlé.
Prévalence de la bronchoconstriction induite par l’exercice (BIE) et de l’obstruction laryngée induite par l’exercice (OLIE) dans une population générale d’adolescents.
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Attaquer le VIH à la racine
L'équipe de recherche dirigée par le chercheur Chris Power [1] a récemment établi une corrélation entre l'infection au VIH et un risque élevé de maladie cérébrale. Selon les estimations, plus de 40% des sidéens seront atteints d'un trouble neurologique tel que la perte de mémoire, les tremblements ou les douleurs chroniques lorsque le virus s'attaquera à leur système nerveux puis leur cerveau. "Il existe une interaction complexe entre les agents infectieux et le cerveau, ajoute Dr. Power. Quand une personne atteinte de la maladie d'Alzheimer contracte une infection comme un rhume ou une infection urinaire, sa démence s'aggrave considérablement."
Chris Power et son équipe ont produit un large éventail de nouvelles connaissances sur la dynamique complexe et énigmatique qui existe entre les virus et les fonctions cérébrales. Ils évaluent l'efficacité de certaines petites molécules qui pourraient éventuellement devenir des traitements médicamenteux contre le VIH et la sclérose en plaques. "Nous sommes en mesure d'enregistrer des signaux électriques à partir de cellules cérébrales cultivées qui ont été infectées par différents virus. Il est étonnant de voir comment nous pouvons répondre ainsi à des questions vraiment fondamentales sur la façon dont un virus attaque les cellules. Nous cultivons le VIH, le virus du Nil occidental et le virus de l'hépatite C, des micro-organismes très difficiles à recréer, indique Chris Power. Ces maladies nous servent de modèles pour déterminer comment les virus et le système immunitaire interagissent."
Des scientifiques comme Chris Power espèrent que les connaissances amassées dans le cadre de l'étude d'une maladie en particulier pourront un jour s'appliquer à d'autres pathologies comme aux maladies de Parkinson et d'Alzheimer.
[1]Chris Power est neurologue à l'Université de l'Alberta à Edmonton au Heritage Medical Research Centre